C’est toujours quand je suis le plus occupée que j’ai le plus envie de poster, probablement que faire plein de trucs me donne envie de faire encore plus plein de trucs et que passer 9h par jour dans une usine donne envie de pas trop faire rien la journée (si on considère que poster sur un blog est une activité). Vous auriez même pu lire un post de plus si le pc de chez mes parents ne détestait pas à ce point wordpress, un gros pavé haineux écrit le premier jour de ma période de boulot quand j’avais dormi 5h qui ne s’est jamais envoyé.
J’ai enfin pensé à m’acheter une carte mémoire pour ma Psp et j’ai donc pu commencer à jouer à FF7 Crisis Core, qui est quand même vachement chouette. C’est beau, on aime esquiver les coups des vilains en faisant des roulades, fusionner des matérias (on fait sa tambouille et on a des bonus de malade, c’est cool =D) et retrouver des lieux et personnages qu’on avait vus dans FF7 mais le système de missions est assez dérangeant. En fait, on a la possibilité de partir faire une mission extérieure à la trame de l’histoire (enfin, vite fait liée par un prétexte) à partir de n’importe quel point de sauvegarde. On choisit sa mission et on est laché dans une section d’une des quelques maps réservées à ce mode de jeu, à devoir trouver le monstre qu’on voit en mode de pas-de-combat (parce que même si les combats en eux même sont en temps réel les monstres apparaissent dans un « pshhht! » comme dans les vieux FF) et une fois qu’on l’a tué bah c’est fini. Et cela quelle que soit la mission, même quand il s’agit d’enquêter ou de trouver un trésor, on tue le monstre, parfois on a un peu de texte et hop on a notre récompense! A noter qu’on peut difficilement se passer de ces missions vu qu’on y obtient des trucs assez importants genre des invocs.
Je vais encore explorer ce jeu au taf ce soir si on me colle à un poste tranquille donc je vais encore probablement gaver encore plein de monde avec ça et même que Bahamut est toujours aussi classe, et que le méchant j’ai appris que le chanteur Gackt lui prétait sa tronche et j’ai enfin compris pourquoi il m’agaçait avec son air de « regardez moi je suis le méchant maquillé androgyne torturé et poète »
Merci, bonne soirée, je vais travailler.